Dans cet article, nous abordons : attirance unilatérale, blocage ou fuite, relation sans réciprocité.
Il y a ceux qui nous choisissent, qui se montrent disponibles, sincères, engagés. Et pourtant, malgré la bienveillance, malgré les intentions claires… il ne se passe rien.
Aucun frisson, aucune projection: juste une neutralité presque gênante.
On se demande : est-ce un blocage intérieur, ou simplement une absence de résonance ?
Cet article explore les deux cas. Et surtout, l’art de discerner ce qui relève du cœur… et ce qui relève de la peur.
1. Est-ce une absence d’attirance
Il faut être honnête :
Parfois, quelqu’un nous veut sincèrement, mais on ne ressent rien.
Pas de tension, pas d’élan, pas d’évidence.
Et ce n’est ni une névrose, ni une erreur. C’est juste… pas pour nous.
Ce silence intérieur est souvent clair, net, sans appel.
Ce n’est pas du sabotage, ce n’est pas une peur de l’amour.
C’est une absence de vibration: Et il faut savoir l’entendre.
On ne construit pas une relation sur la gratitude ou la sécurité seule.
Mais il y a aussi l’autre cas, plus subtil.
2. Ce qu’on rejette parfois… c’est la qualité du lien qu’on n’a jamais reçue
Il existe des personnes pour lesquelles quelque chose pourrait vibrer,
et qu’on repousse trop vite, presque mécaniquement.
Pas parce qu’elles sont fades parfois même elles vibrent fort, mais parce qu’elles sont disponibles. Et ça, notre système émotionnel ne l’a peut-être jamais appris.
On est habitués à “”courir après””: à prouver, à mériter.
Et quand on n’a plus besoin de se battre, on croit que l’amour est absent.
Alors qu’en réalité, c’est une autre forme d’amour…
qui demande une autre forme de maturité.
3. Discerner l’absence de désir du refus d’intimité
Le vrai discernement commence là: Il y a une immense différence entre :
- un lien qui ne nous appelle pas (même s’il est sain),
- et un lien qui nous fait peur parce qu’il nous voit trop bien.
Dans le premier cas, on peut s’en aller en paix.
Dans le second… on ferait peut-être mieux de rester un peu.
Juste assez pour voir si l’absence d’élan cache un mur ancien.
Ou si, au contraire, quelque chose en nous commence doucement à s’ouvrir.
Conclusion
Ce n’est pas une faute de ne pas être attiré par quelqu’un qui nous veut.
Mais ce serait dommage de rejeter systématiquement ce qui ne nous bouscule pas.
Tout n’est pas aligné. Mais tout n’est pas à fuir.
Le vrai critère ?
Ce n’est pas la flamme immédiate, c’est la possibilité d’un mouvement intérieur.
S’il n’y a rien : on s’en va.
Mais s’il y a un frisson qu’on n’ose pas habiter… alors peut-être, cette fois, il faut rester.
C’est parfois subtil, alors restez à l’écoute: à l’écoute de ses ressentis, ce qui parfois est plus complexe qu’il n’y parait.
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